Une etude d’une ONG norvegienne publiee le 14 janvier montre que les principales applications de rencontre comme Tinder, Grindr ou bien OkCupid partagent avec des annonceurs les donnees personnelles de leurs utilisateurs.
Une commode qui pourrait bien s’averer illegale.
Quoi De surcroi®t prive que son orientation sexuelle ? Pour les applications de rencontre les plus populaires de l’instant, ce thi?me ne merite apparemment aussi gui?re d’etre posee. D’apres 1 recent rapport du Norwegian https://www.besthookupwebsites.org/fr/ferzu-review/ Consumer Council, une ONG basee a Oslo, Tinder, Grindr mais aussi OkCupid n’hesitent gui?re a partager les precisions de leurs utilisateurs aupres d’entreprises publicitaires. Parmi les donnees divulguees : age, adresse IP, geolocalisation et des « criteres de selection » choisis avec des internautes, qui correspondent souvent a un orientation sexuelle.
« Hors de controle »
L’institution norvegienne a principalement etudie l’eventualite de Grindr, l’application de rencontre destinee a l’ensemble des hommes homosexuels et bisexuels la plus populaire au monde. Resultat : le service transmet en moyenne a une douzaine d’entreprises privees certaines precisions concernant ses utilisateurs, dont 1 pseudonyme « officiel » puis des codes permettant de les identifier (et donc de des cibler) plus rapidement au regard de un orientation sexuelle et d’un ensemble de precisions accumulees a partir de un profil. Leurs coordonnees geographiques – latitude et longitude exactes – paraissent egalement transmises a ces entreprises… qui paraissent elles-memes susceptibles de des partager avec d’autres firmes, indique le rapport.